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Le baromètre de la santé animale Version imprimable | Dernière mise à jour le
20.06.2023 Le baromètre de la santé animale est un instrument qui a été développé par le comité scientifique (SciCom) institué auprès de l’Agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire (AFSCA). Il permet d’obtenir, sur une base annuelle, un aperçu de l’évolution de la situation globale de la santé animale (animaux de rente) en Belgique (cf. Avis 09-2011 (PDF)). Entre 2008 et 2017, la situation zoosanitaire a été calculée sur la base de la première version du baromètre (cf. Avis 09-2011 (PDF)). En 2018, cette première version a été réévaluée (cf. Avis 07-2018 (PDF)). La deuxième version du baromètre est basée sur un nouvel éventail d’indicateurs. Les résultats des deux versions ne sont donc pas comparables. Entre 2021 et 2022, le baromètre de la santé animale (version 2) a enregistré une baisse de 8,9 %. Cette évolution négative peut principalement être attribuée à une augmentation du nombre de notifications de maladies animales à déclaration obligatoire, et plus spécifiquement à une augmentation des cas d’influenza aviaire chez les volailles et de fièvre Q chez les petits ruminants. On constate en outre une augmentation de la résistance aux antimicrobiens chez les bactéries indicatrices ainsi qu’une évolution défavorable concernant le nombre de notifications d’avortements chez les ruminants. La principale évolution positive observée a été une nette diminution de l’utilisation d’antimicrobiens dans la production animale. On observe en outre une diminution du nombre de carcasses de porcs déclarées impropres à la consommation, ainsi qu’une baisse de la mortalité chez les veaux de boucherie. Evolution par rapport à l'année de référence 2010 Par rapport à 2010, le baromètre de la santé animale affiche également une tendance négative. Cela est principalement dû à l’augmentation du nombre de notifications de maladies animales à déclaration obligatoire (vaste épidémie d’influenza aviaire hautement pathogène dans toute l’Europe, y compris en Belgique). Des évolutions favorables ont pu être observées en ce qui concerne l’utilisation d’antimicrobiens dans la production animale, la résistance antimicrobienne chez les bactéries indicatrices, le nombre de notifications d’avortements chez les ruminants et le nombre d’exploitations disposant d’un système d’autocontrôle validé. |
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